Belgique : un Flamand décroche 20.000 € par mois pendant 30 ans grâce à EuroDreams

  21/05/2025

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Le ticket gagnant a été validé dans un supermarché Jumbo de Gand. Il ne payait pas de mine, comme tous les autres. Un bout de papier, une grille cochée un peu au hasard, ou presque. Et pourtant, ce simple geste a changé une vie. Un homme, la cinquantaine, père de famille tranquille, a décroché le gros lot. Pas un pactole tombé d’un coup, non : une rente. Une vraie. 20.000 euros. Chaque mois. Pendant 30 ans. Rien que d’écrire ces mots, on a presque du mal à les croire. C’est une première pour la Belgique, et l’histoire a quelque chose de doux. Ce n’est pas un jeune trader qui a tenté sa chance par caprice. C’est quelqu’un de simple, un habitué des jeux de la Loterie Nationale, qui n’attendait peut-être plus grand-chose, si ce n’est un petit frisson au moment du tirage.

« J’ai eu un coup de chaud quand j’ai compris », a-t-il raconté, un peu sonné. Il prévoit du shopping avec sa famille, un voyage en Espagne, et surtout, d’investir dans ses enfants. Une phrase qu’on pourrait tous dire : “Je veux juste vivre une vie sans stress.” Ça touche.

Premier gagnant belge dans l'histoire d'Eurodreams

Une rente de rêve, mais bien réelle : ce que représentent 20.000 € par mois

À froid, on se dit : "20.000 €, c’est beaucoup, mais on s’y habitue." Et puis on fait le calcul. Trente ans. Chaque mois. Total : 7,2 millions d’euros. Pas de gros chèque à encaisser d’un coup, pas de panique devant un virement à huit chiffres. Juste une somme régulière, fiable, stable. Comme un super salaire... sans patron. On a tous rêvé de ce genre de situation. Se lever le matin, et savoir que l’on n’est plus coincé. Pouvoir dire non. Offrir à ses enfants ce que l’on n’a pas eu. Voyager sans remords. Aider un proche. Lâcher un boulot qui ne rend plus heureux. Ou simplement... respirer plus large.

À ce niveau-là, chaque mois devient un terrain de jeu. Certains achèteraient un appartement en ville. D’autres mettraient de côté pour leurs petits-enfants. Quelques-uns partiraient faire le tour du monde. Et pourquoi pas tout ça à la fois ? Le luxe ici, ce n’est pas l’excès. C’est le choix.

EuroDreams : un jeu encore méconnu, mais qui fait rêver autrement

Lancé fin 2023, EuroDreams ne fait pas encore partie des habitudes en Belgique. On connaît mieux le Lotto ou l’Euromillions. Et pourtant, ce jeu a un truc en plus. Ou plutôt... un truc en moins brutal. On y joue deux fois par semaine, le lundi et le jeudi. On choisit 6 numéros entre 1 et 40, plus un DreamNumber entre 1 et 5. Et si on coche tout juste ? Pas de gros virement qui fout la panique. Non. Une rente, versée chaque mois, comme un revenu garanti. C’est une autre philosophie du gain.

Et ce n’est pas tout : le deuxième rang, lui, offre 2.000 € par mois pendant 5 ans. Ce n’est pas une fortune, mais c’est déjà un sacré bol d’air. En Belgique, huit personnes avaient déjà atteint ce niveau. Mais le jackpot, jamais. Jusqu’à ce fameux 1er mai.

Un vent nouveau pour la Belgique

Quand on regarde les chiffres, la Belgique était un peu en retrait. La France comptait déjà huit gagnants du jackpot, l’Espagne six, l’Autriche quatre, le Portugal un. Nous ? Rien, ou presque. Quelques gagnants secondaires, certes, mais pas encore de quoi faire la Une. Et puis ce tirage est tombé. Et tout a changé. Ce père de famille flamand est devenu le premier Belge à atteindre le sommet. On parie que les ventes de tickets EuroDreams vont grimper dans les prochaines semaines. Parce qu’un gagnant belge, c’est une preuve que c’est possible. Et ça, c’est contagieux.

On l’imagine déjà, ce gagnant. Assis à la table de sa cuisine, entouré de ses proches. Le téléphone posé là, avec l’application de la Loterie Nationale encore ouverte. Les enfants qui rient, lui qui se pince encore. Et dans sa tête, une seule pensée : “Qu’est-ce que je vais faire maintenant ?” Ce genre de gain, ça chamboule. Pas juste le compte en banque. La vie, les relations, les projets. On croit qu’on est prêt, mais personne ne l’est vraiment. C’est pourquoi la Loterie Nationale offre un accompagnement. Discret, bienveillant, humain. Conseils financiers, soutien moral, respect de l’anonymat. Ce n’est pas un détail, c’est essentiel.

Parce qu’une rente comme celle-là, c’est un super pouvoir. Et comme dans tous les bons récits : un grand pouvoir s’accompagne d’une grande responsabilité.

Eurodreams: un belge gagne 20.000€ par mois

Et maintenant ? Une vie à réinventer, pas à fuir

Ce qu’il y a de beau avec ce gain, c’est qu’il n’oblige pas à tout quitter du jour au lendemain. On peut rester là où l’on est. On peut garder ses habitudes. Ou pas. On peut dire aux collègues que rien ne change. Ou partir sans se retourner. On peut rénover sa maison. Acheter un vélo électrique. Offrir un piano à sa fille. Ou se payer des cours de céramique.

Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise manière de vivre ce rêve. Il y a simplement le luxe immense de pouvoir choisir. Et ça, c’est peut-être le plus beau cadeau.